Le Bol d’Air Jacquier et le Sport
Parler de sport c’est parler de mise en mouvement donc — un tant soit peu (!) — de muscle. Or, pour nourrir le muscle, il faut de l’énergie. Celle-ci peut lui parvenir selon trois processus biochimiques dont un seul est strictement aérobie (nécessitant de l’oxygène). Cette perspective reste la filière métabolique la plus performante au niveau cellulaire et la plus sollicitée dans la plupart des activités sportives. On comprend dès lors l’intérêt majeur à assurer un apport suffisant d’oxygène à l’athlète.
Rappelons qu’un manque chronique d’oxygène génère, de façon avérée, des troubles divers chez le sportif dont :
- Troubles digestifs ;
- Blessures ;
- Inflammation ;
- Stress mental lié au stress oxydatif.
Il a été constaté d’autre part que l’utilisation du Bol d’Air Jacquier :
- Améliore la saturation de l’oxygène dans le sang (chez les sujets normaux) ;
- Lutte contre l’acidose en permettant une meilleure épuration nocturne et en réduisant l’acidité urinaire dans la journée ;
- Agit sur la physiologie antiradicalaire ;
- Participe à la génération de vitamine D ;
- Augmente la VO2 max, c’est-à-dire le débit d’oxygène maximal que l’organisme peut absorber lors d’un effort ;
- Tend à diminuer la fréquence cardiaque et le volume ventilatoire (à effort constant) ;
- Favorise le recours à la masse graisseuse lors d’efforts modérés et contribue donc à la perte de poids ;
- A un impact favorable sur l’endurance, mais aussi sur l’élasticité et la rapidité musculaires ;
- Améliore nettement le ressenti de fatigue durant la période d’entraînement et donc l’état mental et le bien-être de l’athlète.
Bol d’Air Jacquier et dopage
Les éléments inspirés — pinènes peroxydés — sont naturels et ne forcent pas l’organisme. Ils ne font qu’améliorer les fonctions physiologiques existantes. Par ailleurs, l’utilisation du Bol d’Air Jacquier ne génère pas de marqueurs sanguins propres au dopage. Il n’est donc pas un dispositif dopant.
Synthèse du dossier « Bol d’Air Jacquier — Sport, oxygène et Bol d’Air Jacquier — HOLISTE, Innover & Développer au service du vivant ».
Ma propre expérience du Bol d’Air Jacquier
J’ai pu expérimenter les bienfaits du Bol d’air Jacquier dans diverses circonstances et, dans le contexte qui nous intéresse : l’activité sportive de loisir. Je pratique en effet la plongée sous-marine de manière plus que légère (moins de 10 plongées par an, en moyenne).
Lors d’une plongée en binôme avec un collègue de même morphotype — mais de niveau supérieur et qui plonge beaucoup plus souvent — nous avons été étonnés par ma consommation d’air. En effet, à la sortie en surface, il me demande mes paramètres pour les transmettre au directeur de plongée alors que lui-même (qui consomme peu) annonce, satisfait, avoir encore 70 bars d’air en réserve. C’est bien, en effet, après une belle plongée de plus de 40 minutes et de profondeur moyenne de plus de 25 mètres. Je regarde mon manomètre et je constate avec surprise 90 bars ! Je lui annonce et il me répond : « Tu ne respires pas sous l’eau, ou quoi ? ». Je reste étonné sans savoir comment expliquer cela et en lui disant que j’étais particulièrement à l’aise sous l’eau durant notre plongée.
En y réfléchissant par la suite, je réalise que cela faisait une quinzaine de jours que j’utilisais quotidiennement le Bol d’Air Jacquier !